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C'est tell'ment bon un baiser.
C'est tell'ment bon un baiser.
16 février 2008

Jusque la fermeture.

Le vent siffle. Une histoire hantée. Evoquons Thugga. Je suis perdu sur la place du marché. Et il en devient rouge. Non pas de gêne, mais de colère. Je n'ai l'air de lui plaire. Peu importe, ce n'est pas mon rôle. Quarante cinquième. L'oiseau en a perdu ses plumes. L'oiseau en a perdu sa vie. Le vent siffle. En magasin. Peut-être qu'il m'attend maint'nant. Je ne demande pas de caution. Un rire. Et si je devenais ce master. Contemporain. Ne reste qu'à trouver un sujet. Descendre puis remonter, comme des moutons. Rien ne sert de les compter, pour s'endormir. Ils continuent de s'amasser d'un côté. Ils continuent d'embuer. Reprise. Ce forum fleuri à l'air. Je vais répondre oui en invitant les concernés. S'ils existent. J'm'en irai bien au théatre pavaner sur scène. Leur cracher mes mots. Ca ne durerait pas, je m'ennuie et laisse ma place. Une table pour quatre. Personne pour m'accompagner. Je déménage. En cherchant de nouveaux regards. Rien d'plus jouissif. Jusqu'au jet. A celui qui crache le plus loin. Perdu. A nouveau. Garde ton dégout. Offre ta pitié. Histoire de les rabaisser, toujours un peu plus. Une bien jolie perle. Loin d'être blanche. Seul'ment rouge. Par amour de classe. L'entité. Ce groupe d'édifices. Revue d'histoire. Soif de sourire, dans les yeux. Vingtième siècle envolé. De dix en dis. Devoir de mémoire. Ils me citeront. Promesse d'une parole. Force de travail. Par amour du corps. Restons courtois. Sans mentir. La caresse d'un visage passe avant tout. Ces doigts sur mon nez. Certains évoqueront un membre érigé. Sans beauté, on n'peut m'en vouloir, une histoire de sang. Comme si le contrôle était aisé. Pardonne-moi la base. Annale d'un terme. La caquette sur la tête, par respect. Il suffit de ne rien laisser filtrer. Tous ces visages connus, imperceptible. Un ensemble de regards vides. Triste résolution. Il n'y a pas de fin. Pas de point ni de suite. Tout s'embrique. Comme s'il fallait délimiter le ruisseau de la rivière. Ouvrons les frontières. Histoire d'oublier Schengen. Sans nier la différence, elle nous sert. Alors on trouve des périodes au temps. Mesure de l'espace. Le don de parole. En promesses électorales. Il marche en fumant. Un lieu clos. Vide de sens. J'essaie de lire ses pensées, il ne me voit pas. Un sombre fou. Bien plus pertinent que l'autre. Les pages tournent, en vibrant. Arrête tes jambes. Pire qu'un fond. Ca n'se mesure plus. Une dernière et on l'écrase. Roulement de porte. Cette chaleur intérieure. Au premier sourire. Petit être dans sa poussette. Un sourire et le mien. Dans l'dos des parents. Et voilà que la main se tend. Regarde la mienne. A quelques mètres près, je l'attrape. J'pas pu m'empêcher, j'l'ai kidnappée, au rayon BD. Elle s'appellera Ninon. Je suis papa. 

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