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C'est tell'ment bon un baiser.

C'est tell'ment bon un baiser.
23 novembre 2009

Attend-moi

Pêle-mêle :

Un train. Enfin. Après l'absence. Direction. Et ce retard. Amusant. Merci. Bientôt un nouveau. Ordre alphabétique. Au fil du paysage. Et la nuit tombe. Par morceaux. C'est écrit. Comme j'aurais aimé. Te plaire. En silence. Et si j'n'étais pas cap' d'me taire ? C'comme ça quand ça compte. C'comme ça quand .. Tsst. Le temps n'avance plus. Comme si. Et coule. Les voilà qu'ils essaient d'me rattraper. Dernier recours. Avant l'abandon de soi. Pour l'ailleurs. Chute et fin.

Et voilà la solitude.Reine. Nocturne. A tâter le vide. Bien trop présent. Rengaine d'un autre temps. Au détriment d'un regard. Inconnu. Pour simple consolation d l'absence. De médiocre à passable, selon l'état. Et si j'enlevais ce bandeau. En trompe-l'oeil. Masque de la réalité. .. Voilà, virginité, entrouverte. La forme reprends corps. Et vice-versa. Malgré le silence de l'âme.

Etranger dans la ville. Un réel plaisir. Le baluchon sous le sac. Quand plus rien ne compte. Et se raconter. "J'aime le Mans même si je n'y suis jamais allé." Merci. Les rues, les gens. Et ce soleil, malgré le vent. Avec la pilde bouquins. C'est partout pareil. L'appel du livre. Outre la presse. Passage obligatoire. Merci la vie. C'est ça que j'veux. En vrai.

Et me voilà, en route. Pour l'ailleurs. Sans effort aucun. Tant pis. a nouveau en fuite. Comme une habitude. Nécessité de vie. Par crainte de sentiment. Malgré le manque. Chaque fois plus présent. C'en finira un jour ! Au hasard d'un quai, à proximité d'une route. .. Au plaisir de l'instant. Quand le train prend son envol. Et que nos corps entrent dans la danse. Abandonnés.

Et les rencontre perdent de leur charme. Nous ne sommes plus. Fin. Place aux prochaines, je m'en irais. Ces maigres heures n'y changeront rien.

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14 octobre 2009

Perdre la face.

Et me voilà en retrait. J’abandonne ci et là. Démission. Putain d’engagement. Et s’il n’y avait que ça. A en tirer un point. Au lieu de crever à petit feu. Et perdre pied. Fin. Une bien belle histoire. Sans être identitaire. Comme un déménagement. En pire. .. Et l’ennui. A la vie. A la mort. Comme dans nos jeux d’enfants. Cap’ !

A quoi tu penses ? A rien !

De l’aiguille à la plume, et en perdre la mer. Pour finir en lambeaux. Au plaisir des guerriers. Le feu crie la chaire. Du précipice, on en perd. Quand les pierres déboulent. Bienvenue aux victimes. Parce que l’amour a profité de l’oubli.

5 septembre 2009

Am I game ?

Il y a des choses qui valent bien plus. J'dois pas pouvoir trahir mes idéaux. Tant pis. Pour moi. A prendre sa carte. En regardant Jeux d'enfants. Et chialer. Parce que j'dois y ressembler. J'aurais aimé te plaire. En vain. Cap'. A six. Dans dix. Déjà presque deux. Peut-être que j'irais à chaque. La question qu'on doit se poser c'est, comment s'y prendre pour gagner. Parce qu'il y a une nécessité d'aller au combat. Aujourd'hui, comme hier, plus qu'hier. Par obligation morale. En héritage.
  - Pardonne-moi.
  - Barre-toi !
Continuons. Elle m'a offert. Tant pis. Je n'ai plus. Je ne suis plus. Et rien. "T'es cap' de t'taire pendant 10 ans ? Hein, t'es cap' ?" Comme quoi. Cette discussion vers l'ailleurs. Histoire de trouver le courage. De la fuite. J'm'en fous, j'aime. En silence, c'fait plus mal.

30 août 2009

Edition 2009

Et Corsept prend son envol. Rien d'etonnant. Au plaisir partagé. Un rituel chaque fois different. Cette année fut celle des connues. Oublions l'inconnu. Pour profiter. De celles qui comptent. C'est tell'ment rare. De compter. Parce que revoir Demois'Aile. Après ces mois. Avec un bien bel amoureux. Et passer du temps. Quand on sait qu'on existe. Sous un châpiteau ou sur une plage. Oui, l'on sait. Parce qu'une simplicité, une complicité, une nouveauté avec Louise. Un nouveau virage sur Vue. Un bien joli. Celle qui. C'est si plaisant de se sentir. Bien. Juste celle qui est. Sans besoin de raisons.

10 août 2009

Dis, tu t'souviens d'ma tronche ?

Tout le monde en a des tas, des histoires, à raconter. C'pas toujours simple d'oser les offrir. En mots. Et moi je joue. Avec les gens, et les sentiments. Mes sentiments. A m'en retourner le ventre. A m'en faire crier les yeux. De silence. Mais peu importe, j'ai toujours été comme ça. Même si ça n'apporte pas le bonheur. Il y a des luttes. Au fond, je sais qu'un jour. Et détruire, sans le vouloir, juste par nécessité. De survie. Rien ne sert de s'excuser. Ils en ont que faire et je ne connais pas les remords. Alors je me cache. De moi-même. La tête basse. Tant qu'elle se relève pour leurs regards. La face est sauve. Reprenons la partie. Un jeu de l'oie. Avancer, sauter, reculer, attendre. C'est mon tour de lancer les dés. Comme souvent. Si j'avais du courage, je fuirais tout, mais ce n'est plus un secret. Et là, je serais singulier. Pour de vrai. Se casser, un matin, sans prévenir personne. Comme ça. Putain c'que ça ferait du bien. Donner des nouvelles de temps à autres. D'ici ou là. Juste. Rien que des mots.

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2 août 2009

Au passage.

Un 14 juillet dernier :

Je me souviens d’une soirée d’un 13 juillet lointain, assis sur le rebord de la fenêtre, là-haut dans le bureau, à regarder les étoiles en écoutant les détonations des artificiers. Je me souviens, oui. Retour aux archives. Et voilà que la nuit prend fin, place au jour de gloire. Celui de notre nation. Peu importe. Celle qui vise la tête au nom d’une démocratie. Œil pour œil. On n’a pas besoin de leur morale. Quand viendra le soir. Sa respiration dans les draps détrempés. Sans éthique. Au gré de la folie. Il faudrait que j’arrête de mentir. De me mentir. A tout. Fuis ! Au lieu de chialer, debout dans la nuit de ton jardin. Le visage déformé et les rares larmes disparaissant. Par peur de ta vie. Par manque de sentiments. Et si je disais stop maintenant. Je ne sais plus. A quoi cela sert-il ? Et s’apercevoir que tout cela n’est que trop vrai.

Ça ne va vraiment pas du tout, en vrai. Il suffit d’un mot pour que j’explose. D’un tout petit rien.

En fait, j’suis pas certain d’être un mec sérieux. En fait, je base mon monde sur le mensonge. En fait, je …

Voilà, un passage de temps à autre. Histoire de me souvenir de l'existence. Après quelques jours passés auprès de l'océan. Dépaysement tant attendu malgré l'échéance. Je recule, encore, toujours. Sans savoir ce que je veux me prouver. Peut-être que je me trompe. Et l'on me parle de Sade et Sacher-Masoch. Suite Noire commence.

27 juin 2009

Waw !

A relire le 29 mars. La magie existe. Juste. Au hasard.

24 mai 2009

J'aime pas c'temps.

Dis-moi qui on est . Le temps coule et l'on n's'en accorde pas. Les miettes tombent sans qu'on prenne la peine de les regarder. Et les heures et les jours. Il semblerait que. Pas cette fois, je m'enfuis, sur ta moue. Puisqu'il est tard tôt. Il suffit d'une fois. Accorde-nous. A créer l'histoire. Quand la préface dure l'infini. Je suis perdu. A reprendre la ligne quand les pages s'égrainent. Signe. Et entame un premier chapitre. Ou bien l'on pose ces pages. et chacun s'enfuit. Je pars à gauche. Le crayon sous la main. Tu n'as pas le droit au doute. Oh non. A distance dans la même rue. Pour ainsi dire. Etonnant. Juste.

Je déteste suivre et la vouloir. Demain, c'est jour de retour. Partons en guerre. Aux responsabilités que l'on ne peut plus refuser. Solitude. Pir' que jamais. Ils me manquent. Peu importe. Je me retire. Et tout autour s'essoufle. Il y a un manque, tu n'sais trop où. La peur au ventre. Et cette boule. Un poids, au fond. En battement.

Vers un nouvel aménagement. Allez vibre. Je ne dois plus savoir pleurer. P'tet qu'on finira par dire que l'on s'aime. Allongés sur le bitûme, au milieu d'une rue piétonne. Une nuit banale. A tourner, en rond. Sans contrôle de soi. Nous sommes tous complices. Bouffe-moi. Tu m'apprends, dis ? Un jour.

29 mars 2009

Plonge.

Je ne sais plus. A se replonger dans ces ambiances. Une solitude. Mis à l'écart. J'dois partir d'ici. Tout à changer ces derniers mois. Je suis devenu ce que je trouvais détestable. Et ça m'convient, j'crois. Sans morale. Et la tienne ? Fuck. Retour aux rencontres. En boucle. Ces instants. Et chaque fois le même qui revient. Le portable à la main. Sans oser. Si seul'ment. En vrai, elle me hante. L'intensité et le regard. L'éphémère. Une réponse sans réponse. Avoir peur que le mince fil casse.

22 mars 2009

Parce qu'ils jouent le pourrissement, et je crie

Parce qu'ils jouent le pourrissement, et je crie à en perdre la voix. Quand tout finira mal. De la radicalisation à l'insurrection. Je continue l'évolution.

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